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Éducation en plein air : pour concilier apprentissages et bien-être de l’enfant

apprendre en plein air

Les enfants passent de moins en moins de temps en extérieur. C’est une des raisons de l’explosion des cas de myopie chez les jeunes. Mais les conséquences sur leur santé ne concernent pas seulement leur vue ou l’augmentation des risques cardio-vasculaires. Elles touchent également leur santé mentale et leur équilibre émotionnel. Face à la sédentarité des modes de vie occidentaux, famille et école, cherchent des solutions pour se reconnecter à la nature, notamment grâce à l’apprentissage en plein air, en vogue depuis la crise sanitaire.

L’école hors les murs redonne de l’importance au mouvement, à la liberté du corps, à la découverte et à l’expérimentation. Ainsi, l’enfant apprend autrement : ses sens s’éveillent, son développement cognitif s’accélère, sa confiance en lui grandit. Inspirée de la pédagogie active, l’apprentissage au contact de la nature favorise une éducation vivante et respectueuse du rythme de l’enfant. Quels sont les principes de l’éducation en plein air, quelles activités proposer et quels en sont les bienfaits ? On fait le point ensemble !

Pourquoi l’apprentissage en plein air est-il essentiel pour les enfants ?

Le métabolisme humain a besoin de l’extérieur pour fonctionner correctement. La vitamine D est synthétisée grâce au rayonnement solaire, les muscles oculaires s’exercent en fixant un panorama lointain… Et bien sûr le corps nécessite une activité physique quotidienne pour maintenir ses facultés locomotrices. Du mouvement tous azimuts donc pour une santé optimale ! Mais ce n’est pas tout. Pour parfaire leur connaissance du monde empirique, les enfants doivent s’y frotter concrètement. Observer les changements du ciel, caresser l’écorce d’un bouleau, ramasser des mûres sur les sentiers…

Un levier pour l’éveil sensoriel et corporel

La nature nous délivre quantités d’informations qui stimulent nos facultés sensorielles. Ainsi, l’enfant remarque les différentes formes de feuilles, se pique en touchant des orties, repère le cri d’une bergeronnette, goûte des fraises des bois et hume le délicat parfum d’une aspérule. Le contact direct avec la nature offre aux enfants un éveil sensoriel inégalé. Observer les insectes, écouter le bruit du vent, sentir l’odeur de la terre après la pluie… Ce sont autant d’expériences qui renforcent l’acuité sensorielle et la curiosité naturelle des enfants.

D’ailleurs, plusieurs études (Santé Publique France) montrent l’impact positif des expériences sensorielles sur l’intégration motrice et la coordination chez les jeunes enfants. Bouger librement en extérieur permet ainsi de développer l’équilibre, la force musculaire et la motricité globale. De plus, l’apprentissage en plein air donne du sens aux apprentissages théoriques abordés en classe ou à la maison. L’enfant créé son propre répertoire de sensations et d’expériences concrètes et les relient plus facilement à des notions abstraites.

Par exemple, un enfant qui participe à une cueillette de champignons prendra conscience de la variété des espèces comestibles. Un enfant privé de nature ne connaîtra probablement que la forme vendue en supermarché, à savoir le champignon de Paris. Or, il existe des champignons à lames, à tubes, à aiguillons, à plis… Et la fameuse amanite tue-mouche s’avère finalement beaucoup plus fréquente dans les albums jeunesse et dessins animés que dans nos forêts !

école dehors plein air
Canva Pro

Un impact positif sur le développement cognitif et émotionnel

L’apprentissage en pleine nature stimule également le développement cognitif. Le fait de manipuler des matériaux naturels, d’observer les cycles de la nature ou de construire des cabanes encourage la pensée logique, la résolution de problèmes et la prise de décision et de responsabilités. Plusieurs recherches universitaires confirment que les enfants exposés régulièrement à des activités en plein air présentent de meilleures capacités d’attention et un stress réduit.

Éducation en plein air et pédagogie active : des piliers pour apprendre autrement

Cette transformation profonde du rapport au savoir passe par une méthode éducative spécifique : la pédagogie active.

L’éducation en nature : renouer avec le vivant

L’éducation en nature repose sur l’idée que les enfants ont besoin d’interagir directement avec leur environnement naturel pour développer toutes leurs compétences. En France, des initiatives comme « La pédagogie par la nature » (PPN) portée par le Réseau français de pédagogie par la nature ont permis d’introduire cette approche dans les crèches et les écoles maternelles.

Apprendre dehors, c’est donner du sens aux apprentissages en les ancrant dans le réel. Par exemple, l’enfant peut compter les pommes qu’il a ramassées. Il peut observer les changements de saisons dans son environnement proche. Enfin, il apprend à mieux connaître la biodiversité locale lors de sorties de proximité. De même, pendant les vacances, il peut découvrir de nouveaux paysages et biotopes et appréhender la richesse des écosystèmes. Sa connaissance du monde réel participe à la construction de son raisonnement. Il est capable de comparer, ranger et ordonner des animaux et des végétaux selon leurs familles. De même, il identifie les points communs et dissemblances entre les minéraux, les sols, les reliefs etc. Cette expérience s’ajoute à sa connaissance du monde technique qu’il côtoie dans son habitat familial.

activités de plein air enfants
©Canva Pro

La pédagogie active : rendre l’enfant acteur de ses apprentissages

La pédagogie active repose sur un principe simple : l’enfant apprend mieux lorsqu’il est acteur de son propre savoir. À travers des projets en plein air, les enfants expérimentent, tâtonnent, se trompent et réussissent. Cela favorise leur motivation et leur plaisir d’apprendre. Inspirée de pédagogues comme Maria Montessori, Célestin Freinet ou John Dewey, cette approche est aujourd’hui recommandée par les chercheurs français en sciences de l’éducation, dans la lignée de Philippe Meirieu.

Plein air et Initiation à l’écologie

La pédagogie active implique l’enfant dans sa démarche d’apprentissage. Celui-ci comprend que sa connaissance du monde constitue une clé pour préparer le monde de demain. Comment sensibiliser les enfants aux enjeux écologiques s’ils sont déconnectés de la nature ? Comment comprendre l’impact de la destruction des écosystèmes si l’enfant ne met jamais un pied dans une forêt. Initier les enfants au respect du vivant, les réconcilier parfois avec les insectes et autres habitants des fourrés.

Récemment, la BM de Lyon proposait une exposition immersive, L’appel de la forêt, pour reconnecter les petits citadins à la nature. Des sorties au parc de la Tête d’or et des rencontres avec des spécialistes, comme le botaniste Francis Hallé, permettaient aux enfants de mettre en pratique leurs nouvelles connaissances. Et, à l’occasion, de lever leurs craintes. Car les enfants des villes développent parfois une peur de la nature, qu’ils perçoivent comme grouillante de bêtes sauvages et d’insectes effrayants. La peur du noir, couplée à celle du loup, entretient une méfiance de l’enfant envers la forêt. Alors qu’en établissant une relation de bonne intelligence entre l’enfant et la nature, on le libère de ses angoisses. Sa juste connaissance de la forêt le rend plus résilient et autonome et l’incite à participer activement à sa protection.

enfants qui apprennent dans la nature plein air
©Canva Pro

Les bienfaits connus de l’apprentissage en plein air pour les enfants

Quels bienfaits concrets sont observés chez les enfants grâce à l’éducation en nature ?

Développement cognitif de l’enfant

Selon le Réseau Canopé, l’apprentissage en plein air améliore de façon notable la concentration, la mémoire de travail et la créativité des enfants. Toutes ces compétences favorisent la réussite scolaire, car elles prédisposent l’enfant à apprendre dans de bonnes conditions. Les sorties de découverte en extérieur sollicitent les facultés d’observation et de mémorisation. Lorsque l’enfant aborde de nouvelles notions à l’école, son cerveau emprunte des réseaux déjà éprouvés dans d’autres situations d’apprentissage. Il réinvestit ses facultés de réflexion et de raisonnement logique au profit de notions plus abstraites.

Gestion du stress et santé mentale

Par ailleurs, le temps passé en extérieur a un impact positif sur la gestion du stress et la santé mentale (TDAH, TOC, TSA…) en général. De nombreuses études, dont celle de Santé Publique France, confirment que le temps passé en nature réduit l’anxiété, améliore la qualité du sommeil et diminue les troubles de l’humeur chez l’enfant. Il en va d’ailleurs de même chez l’adulte ! Le cadre naturel facilite la méditation en pleine conscience, car il replace les stimuli extérieurs à une échelle raisonnable qui ne sur-sollicite pas le cerveau comme peuvent le faire les images animées. Se reconnecter à la nature, c’est aussi se détacher de la surexposition aux écrans dont on connait à présent les effets néfastes sur la santé des enfants.

Compétences émotionnelles et lien social

Enfin, les enfants bénéficiant d’activités éducatives de plein air montrent aussi une meilleure régulation émotionnelle et un meilleur contrôle de leurs impulsions et de la frustration. Le fait de pouvoir évoluer dans un espace libre de murs et d’interdits (ne pas courir, ne pas crier, ne pas escalader…) contribue à l’épanouissement l’enfant qui peut profiter pleinement de ses capacités physiques.

De même, jouer, coopérer et explorer en extérieur favorise les compétences sociales. Loin du bruit de la cour de récréation, les enfants apprennent à résoudre les conflits, à coopérer, et à respecter les autres et l’environnement. En famille, les liens au sein de la fratrie et entre parents et enfants sont renforcés. Lorsque l’adulte indique à l’enfant de se méfier des nids de guêpes qui pullulent dans la montagne l’été au ras du sol, il lui fait confiance !

enfants qui courent en plein air
©Canva Pro

La nature éprouve ceux qui s’y promènent et impose ses lois. L’homme ne doit-il pas sa survie à la connaissance de son environnement et à sa capacité d’adaptation ? L’enfant comprend, grâce à son instinct autant qu’à son intelligence, les règles de la nature. Elle lui apparaît telle qu’aux origines du monde, généreuse et exigeante, à la fois puissante et fragile. Et toujours intrinsèquement liée à la survie du vivant et donc de sa propre existence. Une belle leçon d’humilité et un positionnement moral à la hauteur des enjeux sociétaux et environnementaux contemporains.

L’Europe et la France : quel état des lieux de l’école en plein air ?

Comment la France se positionne-t-elle par rapport aux pays européens où l’école dehors (forest schools / écoles en forêt) est une tradition bien établie ?

L’exemple inspirant des pays scandinaves et de l’Allemagne

En Suède, au Danemark ou encore en Norvège, l’école dans la forêt est intégrée au système éducatif depuis les années 1950 dès la maternelle. Les élèves passent plusieurs heures par jour à apprendre dehors, qu’il pleuve ou qu’il neige. Ces pays considèrent que le développement cognitif et émotionnel passe par un lien constant avec la nature. C’est le fameux Friluftsliv norvégien, l’art de vivre en plein air ! (Geo.fr, 19/10/22). De même, l’Allemagne compte plus de 1 500 écoles Waldkindergartens, jardins d’enfants en forêt (La Dépêche, 6/06/14). Elle dépasse les États-Unis et le Danemark pionniers en matière de forest schools.

Envie de plein air après la pandémie de COVID

En France, l’essor de l’éducation en plein air a été accéléré par la crise sanitaire. Le ministère de l’Éducation nationale a encouragé, via des circulaires spécifiques en 2020-2021, la mise en place de classes dehors pour limiter les risques de contamination tout en favorisant les apprentissages actifs. Des expérimentations ont fleuri un peu partout sur le territoire et des réseaux ont vu le jour. Ainsi, entre 2020 et 2023, le réseau École dehors a vu ses adhésions tripler entre 2020 et 2023. D’autres réseaux existent également comme Classe dehors, Réseau école et nature… Ils relaient et soutiennent les initiatives des enseignants et servent de plateforme d’échange de bonnes pratiques et de partage d’idées. Ainsi les enseignants y puisent des ressources utiles pour inclure davantage d’activités en plein air dans leurs cours.

cabane dans la forêt éducation de plein air
©Canva Pro

De même, de nombreuses associations proposent des activités de plein air pour les enfants, le plus souvent à partir de 3 ans. Botanique, arts plastiques, sciences, de l’ateliers de quelques heures au stage d’une semaine, les enfants bénéficient d’une prise en charge sur mesure pour découvrir la nature à leur rythme. Ils apprennent à observer, à dessiner, à créer à partir de matériaux naturels dans le respect de la faune et la flore. Il ne faut pas déranger les animaux qui dorment ou qui nichent et replacer les insectes là où on les a trouvés etc. Les répercussions sur les relations entre enfants, de retour en classe ou dans leur famille montrent une attention plus soutenue à l’autre et à ses besoins et une diminution des conflits et gestes violents.

Les freins et les perspectives françaises à l’école en plein air

Toutefois, éduquer au contact de la nature n’est pas toujours facile à mettre en place. Si l’intérêt est grandissant, le manque d’espaces verts autour des écoles maintient les enfants des grandes villes dans l’impasse. De même, les questions d’assurance et l’absence de formations spécifiques pour les enseignants et encadrants restent des défis majeurs. Cependant, plusieurs académies (notamment en Bretagne et en Île-de-France) expérimentent des dispositifs pour intégrer durablement l’éducation de plein air.

Conseils pratiques pour encourager l’apprentissage en plein air

En tant que parents, comment peut-on encourager les apprentissages de plein air de son enfant ?

Favoriser les sorties régulières en nature

Que ce soit en forêt, en parc ou au bord d’une rivière, multiplier les expériences sensorielles simples aide l’enfant à se connecter à son environnement. Nul besoin d’activités complexes : écouter, toucher, ramasser, observer suffisent. Même un parc urbain offre des ressources d’apprentissage : observer, collecter, dessiner. En outre, vous pouvez mettre en place des mini-projets pédagogiques. Par exemple en proposant à votre enfant de créer un herbier, de construire des abris pour insectes, ou encore d’apprendre à reconnaître les oiseaux.

Toutes ces activités favorisent l’autonomie et la curiosité. Vos enfants vous poseront sans doute mille questions. Vous aurez la réponse à certaines et pour les autres, vous les inciterez à formuler des hypothèses. Et une fois de retour à la maison, vous les vérifierez ensemble à l’aide d’une encyclopédie, d’une requête en ligne ou d’un coup de fil à un proche expert. Grâce à votre patience et votre persévérance, vous montrez à votre enfant comment chercher en s’amusant.

La démarche compte plus que la performance. Quand on ne sait pas, on se renseigne ou on demande à des spécialistes. En la matière, de nombreuses villes et associations proposent des ateliers d’éveil sensoriel ou des clubs nature. En inscrivant votre enfant à une pêche à pied, une découverte des marais ou un bivouac dans la montagne, vous stimulez sa curiosité et comblez sa soif d’aventure !

découverte nature enfants en plein air
©Canva Pro

Choisir une école qui valorise la pédagogie active

De plus en plus d’établissements français publics ou privés intègrent des projets d’écoles dehors ou des ateliers de pédagogie active. N’hésitez pas à vous renseigner lors des inscriptions en maternelle et élémentaire. Cela peut faire la différence si vous n’avez pas encore arrêté votre choix d’école. On trouve en ligne des sites qui répertorient les écoles en forêt privées. Elles sont actuellement une trentaine sur tout le territoire, mais certaines écoles Montessori privilégient également l’axe nature et s’ajoutent à cette liste. Attention : pensez à contrôler les labels et agréments de ces écoles, ainsi que le coût de la scolarité, souvent très élevé.

Exemples d’activités éducatives de plein air par tranches d’âge

En fonction de l’âge des enfants, vous pouvez proposer certaines activités adaptées aux capacités de l’enfant et à ses besoins en termes de développement psychomoteur :

  • 2-5 ans. Cette tranche d’âge privilégie l’éveil sensoriel et l’exploration libre. Les enfants manipulent en autonomie des jeux d’eau, explorent leur environnement à travers leurs cinq sens. Vous pouvez par exemple leur demander de trouver trois objets jaunes, de ramasser des ingrédients pour faire une soupe ou encore de résoudre des énigmes simples. De quel fruit raffole l’écureuil ? La noisette. Est-ce que tu en vois autour de toi ? Les activités de land art conviennent également aux plus jeunes au même titre que la prise d’empreintes d’écorce sur feuille de papier.
  • 6-9 ans. À cet âge, l’enfant accède aux premières connaissances scientifiques. Il peut conduire des observations naturalistes (insectes, feuilles), seul ou en coopération. Il apprécie également les constructions collaboratives, comme les cabanes et les mandalas géants. Les capacités de formalisation par le dessin augmentent et l’enfant parvient à représenter de manière satisfaisante ce qu’il observe.
  • 10-12 ans. Les grands enfants ont besoin de donner du sens à leurs apprentissages. Ils excellent dans les projets de sciences participatives, land art et orientation en pleine nature. Ils se retrouvent entre amis et opèrent de manière autonome sous la houlette de spécialistes aguerris. Certains jeunes décident même de fonder leur propre club nature avec leurs plus proches amis. Des initiatives qui leur laissent d’inoubliables souvenirs de construction d’abris pour hérissons ou de franche camaraderie lors du ramassage de déchets en forêt ou bord de mer.
Activités sportives de plein air
©Canva Pro

L’apprentissage en plein air apparaît aujourd’hui comme une formidable opportunité pour renforcer le développement cognitif, émotionnel et social des enfants. En reconnectant l’éducation à la nature et en adoptant des approches de pédagogie active, nous contribuons à former des enfants épanouis, confiants et créatifs !
Et chez vous, comment ça se passe ? Quelles sont les activités de plein air préférées de vos loulous ? Rendez-vous sur nos réseaux sociaux Facebook et Instagram pour partager vos idées d’activités !

Éducation en nature : pour aller plus loin

Podcasts et contenus audio sur le thème de la nature disponibles sur l’enceinte Merlin

Et pour les plus grands : 

Lectures pour les parents sur l’éducation en plein air

En ligne : 

  • Santé Publique France, « La santé psychique en manque d’expériences de nature », 17/10/24.
  • Rencontres Enfance et Nature (Fondation Terra Symbiosis et association ECO-Conseil).
  • Revue Savoir(s), Université de Strasbourg, « Les bienfaits du contact avec la nature pour les enfants ne sont plus à démontrer », 23/01/25.
  • Quelle place pour les enfants dans les espaces publics et la nature ?, rapport du HCFEA (Haut conseil de la famille, de l’enfance et de l’âge, Conseil de l’enfance et de l’adolescence, oct. 2024.
  • Réseau Canopé, « Apprendre dehors : une autre façon d’entrer dans les apprentissage », 15/04/25.

En librairie :

  • Ferjou, C. et Fauchier-Delavigne, M. (2020) Emmener les enfants dehors. Comment la nature est essentielle au développement de l’enfant. Paris : Robert Laffont.
  • Acheroy, Ch., Leterme, C. et Faniel, A. (dir.) (2020). Apprendre dehors. Enjeux des pratiques éducatives ancrées dans le milieu. Bruxelles : Centre d’expertise et de ressources pour l’enfance. 
  • Fleury, C. et Prévot, A.-C. (2017). Le souci de la nature. Apprendre, inventer, gouverner. Paris : C.N.R.S. Editions.
  • Martel, C. et Wagnon, S. (2022). L’école dans et avec la nature. La révolution pédagogique du XXIème siècle. Paris : ESF.
  • Partoune, C. (2020). Dehors, j’apprends. Liège : EdiPro.

La gazette de Merlin

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