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Absences à l’école : quels motifs autorisés et comment rattraper les cours ?

élèves en classe à l'école

Les motifs d’absences à l’école sont variés. Les établissements scolaires acceptent ceux que l’administration a répertoriés et en tolèrent ou refusent d’autres. Au risque parfois de créer des tensions entre enseignants et parents. Quelles sont les règles en la matière et comment s’organiser lors des absences pour maintenir une continuité pédagogique ? Entre théorie et pratique, parents et enseignants s’appuient sur un cadre légal, mais aussi sur le bon sens et la bienveillance pour garantir les apprentissages de l’enfant.

Absences scolaires et absentéisme : que dit la loi ?

Tous les établissements scolaires, primaires et secondaires contrôlent l’assiduité des élèves en cours. L’obligation d’instruction jusqu’à 16 ans et l’inscription dans une école induisent un respect des horaires et du calendrier scolaire. À partir du moment où un élève fréquente une école, ses parents et lui-même signent le règlement. Cela vaut pour contrat entre la famille et l’institution. Non seulement l’instruction est obligatoire depuis les lois de Jules Ferry (1882), mais elle s’accompagne du respect du volume horaire échu à chaque niveau et chaque discipline (Bulletin Officiel n°44 du 26 novembre 2015).

Pour rappel, une semaine de cours en primaire comprend 24 heures et une année scolaire 36 semaines, réparties en cinq périodes de travail. Celles-ci sont entrecoupées de quatre périodes de vacance de deux semaines. Seule l’instruction en famille permet une organisation à la carte.

Les motifs d’absences acceptés par les établissements scolaires

La lutte contre l’absentéisme fait partie des missions du ministère de l’Éducation nationale depuis ses origines. S’il y a un siècle, les maires et instituteurs devaient courir après les élèves dans les champs, il est plus rare aujourd’hui que les enfants travaillent pour aider leurs parents. Toutefois, l’absentéisme n’a pas disparu et dans les établissements secondaires, il fait l’objet d’un contrôle strict. En effet, on le soupçonne d’être précurseur du décrochage scolaire, voire de la délinquance. Même si le primaire ne rentre pas dans ces considérations, il n’en demeure pas moins que l’administration surveille aussi l’absentéisme des jeunes élèves.

absences pour maladies enfant école

Le site service-public.fr recense les motifs d’absences légitimes retenus par l’institution :

  • « la maladie de l’enfant (ou d’un de ses proches s’il est potentiellement contagieux) ;
  • une réunion solennelle de famille (mariage, enterrement, etc.) ;
  • un empêchement causé par un accident durant le transport ;
  • l’enfant qui suit ses représentants légaux (déplacement en dehors des vacances scolaires). »

©Canva Pro

Les absences non autorisées dans le cadre scolaire

On justifiera toute absence à l’écrit, par l’intermédiaire du cahier de liaison (ou cahier de correspondance). En cas de maladie, il faut prévenir l’établissement. En général avant 9 h du matin, ce qui permet d’annuler le repas de cantine. À noter que la mairie ne rembourse le coût de la cantine aux familles qu’au-delà de cinq jours consécutifs d’absence justifiée par un certificat médical.

Lorsque l’enfant doit s’absenter pour un autre motif que ceux autorisés, les responsables légaux doivent en avertir l’établissement par les mêmes moyens. Parmi les raisons que les parents invoquent le plus fréquemment, on trouve :

  • les rendez-vous médicaux. Les établissements demandent aux familles de prendre les rendez-vous de santé en dehors des horaires de l’école. En cas d’urgence et d’impossibilité, les responsables de l’enfant doivent prévenir la maîtresse. Celle-ci notera le motif dans le cahier d’appel. En général, si ces événements sont ponctuels, l’institution les acceptent aisément. Votre enfant pourra se faire soigner chez le dentiste et compter sur son maître pour rattraper son travail.
rendez-vous médical enfant motif absences école
fête diwali en famille
  • les fêtes religieuses. Ce motif n’est considéré comme légitime que lors de cérémonies importantes marquant la vie de la famille. Des absences ponctuelles pour les grandes fêtes sont en général tolérées. Toutefois, elles se devront se limiter à une 1/2 journée ou une journée entière, une ou deux fois dans l’année.
  • les congés. Les enseignants accueillent diversement ce fréquent motif. En général, le règlement de l’école interdit d’anticiper le départ en vacances scolaires et de décaler son retour. Par souci d’équité, tous les élèves doivent respecter la durée des vacances scolaires. Cependant, concernant les congés d’été, la souplesse est de mise. C’est le cas notamment des familles qui rejoignent des parents dans des pays éloignés et qui n’ont pas d’autre choix que de décaler leurs dates pour trouver un billet d’avion abordable.
absences de l'école pour motif de départ en vacances anticipé

D’un point de vue réglementaire, ce type de contrainte n’est pas recevable. Mais dans la pratique, le départ anticipé de quelques jours en juillet est fréquent. En revanche, l’absence lors de la rentrée scolaire est très mal perçue par les établissements. En effet, ceux-ci ont l’obligation de transmettre leurs effectifs aux premiers jours de septembre, pour des raisons de gestion municipale. Cela entraîne par conséquent des retards et irrégularités de traitement des dossiers des familles en mairie.

Le problème de l’absentéisme à l’école

appel présence des élèves en classe

Le contrôle des présences répond à une directive administrative stricte. L’enseignant renseigne chaque jour son cahier d’appel (ou registre d’appel). Ce document officiel détaille les absences du matin et de l’après-midi, sous contrôle par l’administration. En premier lieu, il permet de s’assurer des effectifs et d’avoir une connaissance précise de leur identité.

©Canva Pro

Ainsi, en cas d’alerte incendie, l’enseignant emporte toujours avec lui ce cahier. Il est la preuve de la présence des élèves dans l’établissement. Au moment de refaire l’appel dans la cour, ou dans la rue en cas d’évacuation, il permet de contrôler la présence effective des enfants.

Lorsqu’un élève est absent sans motif légal, l’enseignant doit le signaler à la direction qui transmet l’information à l’inspection académique. Le site service-public rappelle qu’en cas d’absence non justifiée ou pour motif inexact, le responsable de l’enfant encourt une amende de 135 €. Et « si ces absences injustifiées compromettent l’éducation de [l’] enfant, [le responsable] risque 2 ans de prison et 30 000 € d’amende. »

Par ailleurs, en cas « d’absentéisme répété, le directeur d’école ou le chef d’établissement doit réunir les membres de la communauté éducative afin de proposer des mesures pour y remédier. Un document récapitulant ces mesures est signé avec les personnes responsables de l’élève afin de formaliser cet engagement. » Il peut s’en suivre l’envoi d’un avertissement par les services académiques, une sanction pénale et une enquête sociale avec saisie des organismes de protection de l’enfance. En cas de persistance de l’absentéisme, le « directeur académique a la possibilité de saisir le procureur de la République ».

De l’importance de la communication école/famille pour justifier les absences de son enfant

La qualité de la communication établie entre l’école et les familles influence beaucoup l’appréciation des absences. Ainsi, la règle générale est de toujours prévenir en cas d’absence de son enfant à l’école. Ensuite, dans la mesure du possible, il faut veiller à éviter les prises de rendez-vous pendant les heures de cours. De même, les départs anticipés en vacances passent mal auprès de l’équipe enseignante. Il en va du respect des règles collectives et de l’enseignant lui-même. Imaginez que la maîtresse de votre enfant vous annonce qu’elle a besoin de partir un jour plus tôt pour s’envoler aux Canaries… Vous ne trouveriez pas cela normal, car elle est tenue de faire cours jusqu’au jour légal des vacances. Tout comme votre enfant doit être présent tous les jours d’école !

réunion parents enseignant pour résoudre les questions d'absences

Toujours justifier les absences scolaires

Concernant les absences non prévues par le règlement intérieur, elles doivent toujours faire l’objet d’une information et être justifiées par un responsable légal. Si l’enfant doit manquer l’école pour se rendre à une consultation spécialisée, le parent aura tout intérêt à expliciter le caractère impératif du rendez-vous. Dans la mesure où cela ne devient pas une habitude, l’établissement n’émettra pas de mise en garde. De même, si, exceptionnellement, vous avez des difficultés à organiser votre départ ou votre retour de vacances et que vos motifs sont sérieux, l’école ne vous tiendra pas rigueur de l’absence de votre enfant. Tout est question d’équilibre, de bon sens et de respect mutuel.

Par motifs sérieux, l’équipe enseignante ne comprend pas le prix du TGV pour aller au ski ! Mais plutôt l’impossibilité de se déplacer pour cause d’accident, de maladie, de grossesse ou d’accouchement, de déplacement professionnel etc. Si vous exprimez votre embarras et expliquez que vous avez écumé toutes les solutions possibles, l’enseignant de votre enfant adoptera une posture compréhensive. Et si vous avez toujours oeuvré pour maintenir une bonne communication et des rapports bienveillants, alors il vous écoutera sans arrière-pensée.

Assiduité et continuité pédagogique : le rôle de l’enseignant

Le rôle de l’enseignant consiste à veiller aux apprentissages de ses élèves. Leur assiduité fait partie des facteurs clés de réussite scolaire. En effet, si l’absence pour motif médical est fréquente et admise, tout comme celle – moins appréciée – de départ en congé anticipé, il existe encore bien d’autres types d’absences. Certaines sont pour le moins problématiques et surveillées par les services académiques.

Une typologie a été établie par divers chercheurs (Toulemonde, 1998 ; Costa-Lascoux, 2002 ; Blaya, 2003 – source education.gouv.fr) pour le second degré et recense :

  • l’absentéisme chronique : plus de 4 demi-journée par mois ;
  • l’absentéisme perlé : plusieurs absences dans l’année, mais par régulières ;
  • le défaut de motivation. L’élève est présent en classe mais ne participe à rien ;
  • l’absentéisme de respiration : à cause du stress ou de la fatigue, l’enfant ne vient pas en cours ;
  • le vrai-faux absentéisme : l’enfant se rend dans son établissement mais pas en cours ;
  • contraint : exclusion par l’établissement ;
  • de confort : veille ou lendemain de vacances ;
  • couvert par les parents : divers motifs invoqués par les parents pour excuser leur enfant (sans raison sérieuse présumée) ;
  • par nécessité économique : le jeune se consacre à des « petits boulots » à l’extérieur de l’établissement.

En primaire, les causes de l’absentéisme ressortent davantage des parents que de l’enfant. Mais on peut noter que si les absences sont répétées et infondées dès le primaire, le risque d’absentéisme augmente au collège et au lycée.

C’est pourquoi les écoles sont vigilantes à faire respecter l’assiduité des élèves par les parents. En cas de difficulté ou de survenue d’une phobie scolaire, avec harcèlement ou non, il est impératif de saisir les responsables pédagogiques et académiques compétents. Ces derniers prendront des mesures pour permettre à l’enfant de se rendre en cours sereinement et de manière assidue.

©Canva Pro

absence pour cause de harcèlement scolaire

Quels sont les moyens de médiation en cas de désaccord ?

La première personne informée d’une absence sera l’enseignant ou la directrice (en cas de maladie). En cas de difficulté de communication avec la maîtresse, les parents peuvent s’adresser directement à la direction. Un parent élu peut accompagner la famille dans ses démarches et conseiller les parents. Toutefois si le conflit persiste, l’inspection académique, voire la direction académique, peuvent statuer. Les coordonnées des directions administratives sont disponibles sur Internet pour chaque académie. Le directeur a l’obligation de les fournir si on les lui demande.

Une réunion rassemblant l’ensemble de l’équipe éducative peut être convoquée pour trouver une solution satisfaisante.

Mise en place d’une organisation spécifique en cas de maladie et/ou de handicap

enfant pris en charge sur le temps scolaire

Si votre enfant a besoin de soins récurrents, le PAI (projet d’accueil individualisé) mais aussi le PPS (projet personnalisé de scolarisation), le PAP (plan d’accompagnement personnalisé), voire le PPRE (programme personnalisé de réussite éducative) peuvent les encadrer et les inclure. Par exemple, si votre enfant souffre d’un handicap ou qu’il a besoin de soins de rééducation et d’adaptation, l’école aménage les horaires de l’élève en conséquence et en concertation avec l’équipe éducative et médicale.

©Canva Pro

C’est le cas pour les prises en charge en CMP (centre médico-psychologique), CMPP (centre médico-psycho-pédagogique) ou centres de soins. Des consultations d’orthophonie, de psychologie, d’ergothérapie ou encore de psychomotricité peuvent avoir lieu sur le temps scolaire ou à cheval sur le temps périscolaire. Dans ce cas, des éducateurs accompagnent les enfants lors des trajets école/centre de soins. Ces déplacements ne comptent pas comme des absences puisqu’ils ressortent d’un parcours personnalisé visé par toute l’équipe éducative élargie, dont un représentant de l’inspection et/ou de l’académie.

Comment organiser les apprentissages lors des absences ?

Quel que soit le motif d’absence de votre enfant, s’il loupe l’école il aura forcément du travail à rattraper. Comment vous organiser et quand le faire travailler ?

Quelle différence entre la maternelle et l’élémentaire si l’enfant manque l’école ?

De fait, le niveau de l’enfant compte dans le rattrapage du travail fait en classe. En maternelle, l’enseignant pourra facilement faire rattraper un élève pendant certaines activités. Mais plus l’enfant progresse dans les classes de primaire, plus le programme s’alourdit. Les temps libres diminuent et l’enseignant dispose de moins de marge pour faire récupérer les élèves absents. Ainsi, les épidémies de grippe perturbent l’organisation des apprentissages et ralentissent la progression des séquences d’enseignement. Cela occasionne des « retards » que l’enseignant tente d’endiguer en priorisant certaines activités sur d’autres.

C’est pourquoi en élémentaire, il vaut mieux prévoir un temps de reprise à la maison après une maladie de l’enfant pour l’aider à raccrocher les wagons en classe. Le professeur vous donnera toutes les indications nécessaires, soit en imprimant les documents, soit en vous les envoyant sur la plateforme numérique de la classe. Ainsi, vous procèderez comme lorsque vous accompagnez votre enfant lors des devoirs à la maison, avec patience et en fractionnant les apprentissages qui sollicitent la mémoire. N’hésitez pas à organiser plusieurs sessions courtes pour la réalisation des exercices d’application. En revanche, évitez de couper une activité écrite et privilégiez l’enchaînement de la leçon et de son exercice d’application.

Continuité des apprentissages en cas de longue maladie ou de handicap

Les absences de longue durée doivent être encadrées par l’établissement référent qui orientera la famille vers les structures adéquates. L’enfant pourra alors bénéficier des cours prodigués par des enseignants spécialisés, dans les hôpitaux (voir la page du MEN dédiée à la scolarisation des enfants malades et hospitalisés). Si l’enfant est soigné à domicile, les responsables légaux pourront faire une demande d’instruction en famille à tout moment de l’année. Les académies recommandent alors de s’inscrire au CNED. Cet organisme assure par ailleurs la prise en charge spécifique des élèves porteurs de handicap. Un tutorat à domicile assuré par un enseignant de l’Éducation nationale (ou jeune retraité de l’EN) pourra être mis en place.

enfant hospitalisé continuité apprentissage longues absences école

En cas d’incapacité totale et prolongée, l’équipe éducative peut proposer un redoublement. Jusqu’à récemment, l’absence prolongée de l’élève était le seul motif valable pour le faire redoubler.

Pour toutes les autres absences de courte durée, la famille doit se rapprocher de l’enseignant pour connaître ses directives.

Rattraper le travail scolaire à la maison pendant et après une courte absence

Si l’état de l’enfant le permet, il vaut mieux poursuivre les cours à la maison. À condition bien sûr que l’enseignant fournisse le travail à effectuer. Il n’y est pas tenu et peut décider de faire rattraper son élève sur le temps scolaire. C’est généralement le cas pour les absences de courtes durées, à la demi-journée ou une journée entière. La maîtresse peut utiliser son temps d’APC (activités pédagogiques complémentaires) pour faire rattraper le travail aux absents. Ce temps fait partie des obligations de service des professeurs, mais ne fait pas partie du temps scolaire obligatoire. Les élèves travaillent en petits groupes pendant la pause méridienne sur autorisation parentale.

Aucune réglementation n’oblige l’enseignant à délivrer ses contenus de cours aux élèves absents. Toutefois, si vous justifiez l’absence à l’avance, l’enseignant pourra juger de la pertinence de fournir telle ou telle leçon ou autre travail à rattraper. S’il aborde une nouvelle notion, il préfèrera sans doute prendre l’élève en soutien pour le remettre à niveau du groupe classe.

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rattraper le travail scolaire à la maison après les absences

En cas de maladie prolongée, de une à deux semaines, l’enseignant trouvera un arrangement avec vous pour vous transmettre le travail de la classe. De fait, le professeur tient un cahier journal (ou livre journal) dans lequel il consigne tout ce qui a été abordé dans la journée. En outre, les séquences sont programmées à l’avance pour chaque période. Donc, même si l’enseignant ajuste au jour le jour, il sait quel déroulement de séance il vise, pour des objectifs pédagogiques précis. Vous devrez passer à l’école chercher les manuels et cahiers. Et vous pourrez sans doute ensuite recevoir le travail quotidien par voie numérique, sur l’ENT de la classe.

Que faire si vous devez partir en déplacement avec votre enfant ?

Autre motif d’absence non encore évoqué : votre enfant doit vous suivre lors d’un déplacement. Si celui-ci dure peu de temps, vous pourrez le faire rattraper tel que précédemment détaillé. En revanche, si vos déplacements sont fréquents, vous devriez envisager un moyen plus stable de scolariser votre enfant. Peut-être en optant pour l’instruction en famille (IEF) ?

maintenir une bonne communication parents école

Vous aurez alors le choix entre enseigner vous-même ou passer par le CNED pour obtenir des cours par correspondance. Le numérique permet une grande flexibilité d’enseignement. Par exemple, votre enfant pourra intégrer une classe virtuelle correspondant à son groupe d’âge, conformément aux programmes de l’Éducation nationale, tout en voyageant avec vous. Rapprochez-vous des services académiques pour constituer votre dossier et obtenir l’autorisation nécessaire.

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Pour conclure, rappelons que la règle générale veut que l’enfant soit assidu à l’école. Toute absence nécessite une justification écrite des responsables légaux. Concernant les motifs légitimes, un simple coup de fil ou un mot dans le cahier de liaison suffisent. En revanche, les absences pour convenance personnelle nécessitent une information motivée des parents. En outre, elles doivent demeurer exceptionnelles. Dans le cas contraire, les responsables s’exposent à une amende et/ou à un avertissement qui peuvent déclencher un signalement aux services sociaux. Le maintien d’une bonne communication et de relations bienveillantes entre l’école et les familles garantissent un climat serein et primordial pour la réussite scolaire et le bien-être des enfants.

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